La seconde génération de Mirai a perdu son côté iconoclaste pour maintenant ressembler à une Toyota Camry… mais avec les roues arrière motrices. La vraie différence se situe sous le capot où l’on retrouve une pile à combustible qui transforme l’hydrogène en électricité et en eau. Encore faut-il pouvoir trouver de l’hydrogène (une station au Québec, dans la ville de Québec) et vouloir acheter l’auto parce qu’aucune location n’est possible. Bref, un jouet exotique d’abord destiné aux flottes gouvernementales.