Inspection : la BMW Série 3 nous livre ses secrets
Vue de l'une des roues avant. On voit le cardan qui permet le rouage intégral, et la présence de nombreuses pièces en aluminium et autres alliages légers. La conception complexe est typique des voitures allemandes.

La voiture sur l'élévateur. On remarque ainsi le débattement des suspensions, plutôt généreux.

Jolie voiture, mais que cache-t-elle?

Comme c'est le cas de bien des voitures modernes, la majorité des composantes mécaniques sont cachées par des morceaux de plastique...

Élément qui sert au refroidissement des lumières avant. Oui, on est rendu là...

Une fois qu'on enlève les couverts, on est devant un spaghetti de fils et de tuyaux...

La BMW 330i xDrive est mue par un moteur quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres, produisant 255 chevaux et un 295 livres-pied de couple. On voit ici le petit turbo du moteur.

Une autre vue du spaghetti. On arrive à deviner l'orientation du moteur, qui laisse présager une conception à la base à propulsion.

Voici le réservoir à liquide de refroidissement. Contrairement à ce qui est le plus courant, c'est-à-dire qu'il soit transparent, il est opaque. On doit donc l'ouvrir afin d'avoir une idée du niveau du liquide.

Comme sur bien des voitures allemandes, on ne peut lever les essuie-glaces sans d'abord actionner une commande dans le menu de la voiture.

Sous la voiture, les ingénieurs de BMW ont cherché à faire une surface la plus plate possible, afin de maximiser l'aérodynamisme de la voiture.

Vue de l'une des roues avant. On voit le cardan qui permet le rouage intégral, et la présence de nombreuses pièces en aluminium et autres alliages légers. La conception complexe est typique des voitures allemandes.

Vue du différentiel, à l'arrière. Peu de choses à dire sur cette pièce, à part qu'elle semble bien construite.

Vue de la ligne d'échappement, dont la forme est particulièrement irrégulière. Difficile d'envisager de la remplacer dans un commerce qui ne vend pas de pièces BMW.

Une autre vue de la forme complexe de la ligne d'échappement. Ce n'est pas n'importe où qu'elle pourra être machinée, ou encore reproduite. En cas de dommage, la seule option logique est de se tourner vers le concesionnaire.

Vue de l'un des deux pot d'échappement. On voit la présence d'un clapet activé électrioniquement. Ainsi, on peut l'ouvrir, selon le monde de conduite, afin d'être plus bruyant. En mode confort, ce n'est que l'un des deux qui est ouvert, réduisant ainsi le bruit.

Vue de l'un des bras de la suspension arrière. Étonnement, BMW n'utilise pas les mêmes matériaux qu'à l'avant.

Premier joint de la ligne d'échappement depuis l'arrière. Autrement dit, au moindre bruit, il faudra remplacer toute la ligne, du moins jusqu'au flexible situé juste après le moteur.

On retrouve un peu partout sur la voiture des dispositifs de caoutchouc qui visent à réduire les vibrations et le bruit des pièces métalliques.

Dispositif qui envoie des informations à la voiture quant à la position des suspensions arrière.

Quand on ouvre les portes de la voiture, une image est projetée sur le sol par des projecteurs. Ceux-ci se situent dans les jupes de la voiture, comme vous pouvez le voir sur la photo.

Un des nombreux capteurs sur la voiture, qui renvoie des informations à l'ordinateur central.

Une pièce de cahoutchouc qui sert à diminuer des vibrations dans les suspensions.

Vue de la roue arrière. La conception des disques en une pièce permet à ceux-ci d'être refroidis plus rapidement. Même si la Série 3 330i xDrive n'a rien d'une voiture de course, la plupart de ses composants semblent avoir été pensés pour pouvoir endurer les difficiles conditions qui règnent en piste.

Comme la plupart des voitures allemandes, la BMW n'a pas de petites tiges qui tiennent la roue, et sur lesquelles viendraient se visser les boulons. À la place, les boulons sont comme de grosses vis, ce qui rend l'installation des roues inutilement complexe.

Pour palier à ce problème, les mécaniciens ont parfois recours à des tiges temporaires pour faciliter l'installation.

Les plaquettes de frein de la Série 3 sont munies de capteurs qui vous indiquent quand c'est le temps de les changer.

Vue de la suspension arrière. On remarque un design complexe, auquel les compagnies allemandes nous ont habitué.

Plus facile d'installer les roues à l'aide de tiges temporaires.

Morceau de caoutchouc servant à absorber des vibrations, pour augmenter le confort des occupants.

Trappe d'aération qui permet d'amener de l'air frais aux disques avant, histoire de les refroidir. Utile en piste, cette fantaisie n'a cependant pas beaucoup d'application dans la vie réelle.

Vue des disques avant.