Alfa Romeo Giulia 2017: Le plaisir en boni
Les sièges s'avèrent très confortables et retiennent bien en virage.

L'arrière est moins typé que l'avant. On peut même trouver que les feux arrière ressemblent à ceux d'une Mazda3!

Dans le style épuré, c'est difficile de faire mieux!

Quatre cylindres, 2,0 litres turbo, 280 chevaux et 306 livres-pied. Ça marche!

Le design des jauges est classique. Surtout, ces dernières sont faciles à lire. Elles sont séparées par un grand écran.

La boîte de vitesses est une automatique à huit rappoorts. La grosse molette noire commande le système multimédia et tous les paramètres de la voiture via l'écran. Le bouton à gauche est marqué D, N, A. Il s'agit des modes de conduite.

Le mode Dynamic intervient sur le fonctionnement du moteur, de la boîte de vitesses et des freins.

Il faut quelquefois patauger dans les menus avant de s'y retrouver.

Commandes de chauffage. Remarquez le port USB, très facile à utiliser.

Il y a peu d'espaces de rangement dans la Giulia. Ce petit bac est fort apprécié.

Les sièges s'avèrent très confortables et retiennent bien en virage.

L'accès aux places arrière n'est pas aisé à cause des portes très étroites.

L'ouverture du coffre est très grande, ce qui facilite le transport de gros objets.

Le coffre de la Giulia est très grand pour la catégorie.

Le dossier de la banquette se replie de façon 40-20-40.

Les étriers de freins sont peints en rouge, une option.

Chez Alfa Romeo, les voitures ayant un rouage intégral portent le sigle Q4.







