Jaguar XF 2016 : La tradition modernisée, phase 2

Le coefficient de traînée est de 0,26 !

L'empattement a été allongé de 51 mm.

Les phares de route sont à DEL.

Le félin rugit encore plus.

Une prise d'air à chaque extrémité du pare-chocs avant.

Les jantes : du solide.

La bande de chrome reliant les feux arrière est plus mince que précédemment.

L'écran d'affichage est de 10,2 pouces.

Les rétroviseurs sont dotés d'une bande lumineuse le long de la coque.

La boîte de vitesses est gérée par ce gros bouton qui se soulève lorsqu'on lance le moteur.

Le modèle R-Sport est propulsé par le V6 suralimenté de 340 chevaux.

Le pavé de commandes sur le rayon gauche du volant est quelque peu complexe.

Le bouton de limite de vitesse (LIM) peut être confondu avec celui du régulateur de vitesse.

Les pavés de gestion des modes Normal, Hiver, Eco et Dynamique ne sont pas faciles à opérer.

La signature sur chaque aile avant.

Le V6 3,0 litres est couplé à un compresseur à double turbine.

Le boudin du volant se prend bien en main.

Oubliez les boiseries de jadis. L'aluminium règne en maître.

Les centres de commande de chaque côté du moyeu sont relativement grands.

Seuil de porte, au cas ou vous auriez oublié quel modèle de XF vous conduisez.

La console centrale est passablement large tandis que les espaces de rangement sont assez modestes.

Les sièges avant sont très confortables et offrent un bon soutien latéral.

Ces pavés permettent de choisir entre les modes de fonctionnement, mais ils sont difficiles à rejoindre et gérer.

La version XF S est propulsée par un moteur V6 de 380 chevaux.