Comme c'est maintenant le cas avec les nouvelles motorisations à haut rendement, le grade recommandé pour l'huile synthétique est fixé à 0W-40.
Photo: Guy DesjardinsL'immense moteur HEMI qui prend une grande partie de l'espace disponible dans le compartiment moteur. Tout est bien disposé, avec un réservoir de liquide lave-glace à l'avant et placé du bon côté, celui de l'accotement.
Photo: Guy DesjardinsLe moteur HEMI de la version SRT8 fait désormais 6,4 litres. Ce qui lui permet de développer 470 chevaux. Ce moteur est également équipé de la technologie Fuel Saver qui lui permet de fonctionner sur 4 cylindres lorsque la situation le permet.
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Photo: Guy DesjardinsComme c'est maintenant le cas avec les nouvelles motorisations à haut rendement, le grade recommandé pour l'huile synthétique est fixé à 0W-40.
Photo: Guy DesjardinsLe réservoir du liquide de refroidissement trône sur le dessus du compartiment moteur. Compte tenu de l'emplacement du moteur et de son gabarit, certains éléments ont été repositionnés autour de la motorisation.
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Photo: Guy DesjardinsSous le pare-chocs à l'avant, placé à côté du phare auxiliaire, se trouve une entrée d'air peu discrète. Sur notre modèle d'essai, aucun grillage ne la dissimulait. En hiver, cette ouverture risque de s'obstruer rapidement et si de la glace s'y introduit, elle sera assurément difficile à retirer.
Photo: Guy DesjardinsSous le pare-choc, dissimulé dans le grillage, entre les deux phares auxiliaires, se trouve une lentille qui suppose la présence d'un troisième phare auxiliaire. Il s'agit en fait du système radar qui est utilisé pour le régulateur de vitesse adaptatif et qui permet d'ajuster la vitesse automatiquement selon le traffic devant.
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Photo: Guy DesjardinsLa suspension basse (2 cm plus basse que le modèle 300 standard) et la jupe aérodynamique avant généreuse ne permettent pas à la SRT8 de passer à tous les endroits sans en être endommagée.
Photo: Guy DesjardinsSous le véhicule, de nombreuses plaques de plastique sont installées afin de protéger les organes mécaniques mais également assurer une bonne diffusion de l'air. Certaines plaques sont également recouvertes de feutre pour atténuer le bruit.
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Photo: Guy DesjardinsLa 300 SRT8 propose une transmission à 5 rapports. On remarque également, un support en aluminium de bonne dimension sous la transmission qui permet de rigidifier le châssis mais également soutenir une bonne partie de la masse mécanique.
Photo: Guy DesjardinsLa suspension avant est indépendante avec jambes de force MacPherson. Sur le modèle SRT8, elle propose cependant un ajustement électronique qui lui permet d'offrir une tenue de route plus ferme. Elle peut alterner entre les modes Auto, Sport et Piste.
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Photo: Guy DesjardinsSur une berline de ce gabarit et vouée à de solides performances, il est étonnant de constater à la fois la simplicité et la solidité des éléments mécaniques de la suspension et de la direction.
Photo: Guy DesjardinsPour de nombreuses pièces mécaniques, on reprend celles de la 300 traditionnelle, ce qui permet d'économiser sur les coûts. Par contre, concernant les rotules de suspension, on aurait pu proposer quelques chose de plus endurant et solide à long terme.
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Photo: Guy DesjardinsOutre la jambe de force MacPherson ajustable électroniquement et peinturée de couleur jaune flamboyant, rien de différent au niveau des ancrages et du ressort.
Photo: Guy DesjardinsSous le plancher, à l'avant du véhicule, on remarque une protection feutrée. Elle permet de filtrer les bruits de la route mais également de protéger le plancher des ravages du calcium de nos routes en hiver.
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Photo: Guy DesjardinsÀ la sortie des collecteurs et juste avant le premier silencieux, on trouve les sondes à oxygène. Elle sont bien placées, par-dessus le catalyseur et à l'abri des aléas de la route. On les retrouve sur chacune des deux lignes d'échappement.
Photo: Guy DesjardinsUn élément très apprécié des amateurs de voitures performantes, la présence de valves de pression au niveau du silencieux. Cette soupape permet d'ajouter une sonorité gutturale lors des fortes accélérations. Le son qui en résulte est bestial, ce qui montre bien la vocation de performance de la version SRT8.
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Photo: Guy DesjardinsAu mileu de la voiture, les deux tuyaux d'échappement se rejoignent afin d'équilibrer la pression au niveau des deux lignes d'échappement. Cette façon de faire ajoute de la stabilité et de l'efficacité en accélération.
Photo: Guy DesjardinsAu bas de la photo, on remarque les deux premiers silencieux du système. Les tuyaux sont de bonnes dimensions et capable de supporter la pression immense du moteur HEMI de 6,4 litres.
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Photo: Guy DesjardinsÀ l'arrière, on retrouve une suspension de type indépendante à multibras. Elle propose également l'ajustement électronique qui permet de passer entre les modes Auto, Sport et Piste.
Photo: Guy DesjardinsLa 300 SRT8 propose des freins surdimensionés. À l'arrière, on trouve des disques de 13,8 pouces alors qu'à l'avant ils affichent14,2 pouces.
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Photo: Guy DesjardinsEn fin de course, un petit silencieux permet d'atténuer le bruit. L'embout chromée se fraye un chemin dans une ouverture restreinte au bas du pare-chocs arrière.