Musée J. Armand Bombardier. Cet Olympique 300 1968 a participé à l'expédition Plaisted qui a atteint le Pôle Nord le 19 avril 1968 après un périple de 43 jours et 1330 km!
Photo: Sylvain Raymond
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. La troisième partie du musée est consacrée à l'évolution du système barbotin-chenille mis au point par J.Armand Bombardier.
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Le bureau de l'inventeur. Les décisions prises dans cet espace réduit ont grandement influencé la vie de plusieurs personnes.
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier, une petite partie des machines utilisées (et souvent créées) par Bombardier dans son petit garage.
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. L'exposition débute avec la première "création" de Bombardier. On reconnait la calandre caractéristique d'une Ford Modèle T et un hélice à l'arrière.
Photo: Sylvain Raymond
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Une Ford Modèle T 1931 adaptée par Bombardier. Les chenilles sont là mais on est encore loin de la solution parfaite.
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. La chenille est entraînée par des blocs de bois. La neige s'amassait rapidement entre les roues.
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Photo: Sylvain RaymondLe premier véhicule muni d'un moteur à l'arrière
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Le B7 (Bombardier, 7 passagers) 1940. Le moteur est placé au-dessus des chenilles, ce qui améliore grandement la traction.
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier, le fameux B12 qui pouvait transporter 12 personnes. Ce véhicule de 1530 kilos pouvait filer jusqu'à 72 km/h sur la neige.
Photo: Sylvain RaymondPrototype de véhicule à une place
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Photo: Sylvain Raymond
Photo: Sylvain RaymondJoseph-Armand Bombardier a conçu cette presse afin de fabriquer ses jantes pleines
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Plaque apposée sur un B12 1947.
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. La fin des années 40 amène un déclin des ventes d'autoneiges. Bombardier se tourne avec succès vers d'autres applications, dont ce système de chenilles pour tracteurs.
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Photo: Sylvain RaymondBombardier B9
Photo: Sylvain Raymond
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. On peut même s'asseoir dans l'habitacle d'un B12, modifié pour l'occasion. Et sans doute que les modèles originaux n'étaient pas aussi confortables!
Photo: Sylvain Raymond
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Pour voyager sur la neige, un véhicule doit exercer le moins de pression possible. Le poids de ce Muskeeg T 1953 est particulièrement bien réparti, Ce véhicule industriel fut un grand succès.
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Muskeeg T 1953. Premier véhicule muni de barbotins (dents) en caoutchouc et chenille sans fin.
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Photo: Sylvain RaymondUn modèle industriel de Bombardier
Photo: Sylvain Raymond
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Photo: Sylvain RaymondPrototype de 1958, la première motoneige ?
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. À l'avant-plan, sans doute le véhicule le plus important du musée puisqu'il est le premier à être sorti de l'usine, le Bombardier Ski-Doo 1959. Les skis sont en bois.
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Le poste de commande d'un Ski-Doo 1959. Moteur Kohler 4 temps de 7 chevaux. Avec ses 152 kilos, il pouvait atteindre 40 km/h.
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. La deuxième partie de la visite, en place depuis un bon bout de temps, montre l'évolution de la motoneige.
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Ski-Doo 1962. On voit très bien le principe de la transmission à rapports continuellement variables (à gauche du moteur). Aujourd'hui, on en retrouve même dans certaines automobiles!
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. La première fois que votre journaliste préféré a conduit un Ski-Doo, c'était un TNT 440 1974 identique à celui-ci. Ce fut aussi son premier accident...
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Cet Olympique 300 1968 a participé à l'expédition Plaisted qui a atteint le Pôle Nord le 19 avril 1968 après un périple de 43 jours et 1330 km!
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Dessinée par George Barris, le père de la Batmobile, cet Alouette Big AL 1971 est capable d'atteindre les 322 km/h!
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. La suspension avant de ce Skiroule Sno-Pro 1976 a été pensée par nul autre que Gilles Villeneuve, à l'époque ou il régnait en maître sur les ovales enneigés.
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Ski Doo Formule Un 1985 que Jacques Villeneuve Sr a brillamment piloté sur les pistes de courses... et il continue!
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Cette Ford Modèle T a été modifiée en 1929 et représente bien les débuts du système barbotin-chenille.
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Ce TN 1951 était mû, comme la plupart des produits Bombardier, par un moteur Chrysler faisant, ici 115 chevaux.
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Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Les chenilles de 44,5 cm de large avec courroies en caoutchouc sans fin et traverses en acier assuraient une traction incroyable à ce TN 1951
Photo: Alain MorinMusée J. Armand Bombardier. Un petit souvenir de votre visite au musée ou un peu d'information?