McLaren MP4-12C : une nouvelle F1 pour la route…

L’entente qui liaient les firmes Mercedes-Benz et McLaren dans la conception, le développement et la commercialisation des bolides SLR prend fin cette année.

La fin est proche

Après avoir dévoilé le coupé SLR en 2003 et le roadster en 2007, la carrière de ces derniers se termine avec l’édition spéciale Stirling Moss limitée à seulement 75 exemplaires.  Au total, 2 300 Mercedes-Benz SLR ont trouvé preneur.

La fin de ces voitures sport de haut calibre, donnera naissance en 2011, à deux autres bolides exceptionnels conçus et développés par chacune de ces deux firmes de prestige. D’ailleurs, elles viennent tout juste d’être dévoilées en grande première mondiale, au salon international de l’automobile de Francfort.

De son côté, Mercedes-Benz a présenté son coupé sport SLS AMG qui a la particularité d’offrir des portes de type Gullwing (ailes d’oiseau) qui s’ouvrent à la verticale. Et dont le cœur est un puissant V8 de 6,3 litres de 571 chevaux.

Pour contrer ce nouveau monstre entièrement conçu par les ingénieurs de Mercedes-Benz, les p’tits génies de McLaren, ont développés le coupé ultra sportif MP4-12C qui n’a rien à envier à son futur rival, bien au contraire.

Bolide F1 pour la route

La très séduisante McLaren MP4-12C est un foudroyant coupé sport à portes qui s’ouvrent en élytre, bénéficiant d’un châssis en carbone et d’une carrosserie en fibre de carbone qui lui octroient une structure à la fois légère et très robuste.

Le cockpit réservé à seulement deux passagers a pour mission de créer la sensation d’être au volant d’une Formule1, mais adaptée pour la route. Ainsi, les sièges baquets très enveloppants et très bas vous collent littéralement à la route. A priori, la planche de bord ou si vous préférez le poste de pilotage est entièrement dédié au conducteur, en lui octroyant une ergonomie de très haut niveau.

Son moteur monté en position centrale, est un foudroyant V8 à double turbo dont la cylindrée de 3,8 litres délivre une puissance établie autour des 600 chevaux, tandis que le couple avoisine les 600 Nm. Le tout accouplé à une boîte robotisée à double embrayage de sept rapports.

Il va de soi, que tout ce qui touche la géométrie de ce monstre, suspensions, direction et freins viennent directement des expériences vécues par cette société en tant qu’écurie de pointe, dans le monde de la Formule 1.

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