Lexus lance enfin sa berline LS redessinée!

Lexus a profité du Salon de l’auto de Detroit pour faire quelque chose qu’elle aurait dû faire depuis longtemps : mettre à jour sa LS.

La berline de luxe pleine grandeur LS est ce que l’on appelle le véhicule porte-étendard de Lexus. Autrement dit, celui censé représenter tout le savoir-faire de la marque.

Même si le constructeur ne vend pas beaucoup de modèles de la LS, il se devait de la mettre à jour, car elle commençait à dater, surtout dans une gamme où tous les produits sont si avant-gardistes.

Tout est neuf

On ne parle pas ici que d’un simple rafraîchissement. Tout est neuf, dans la Lexus LS 2018.

La plate-forme a été conçue pour « grandement » bonifier l’agilité et la tenue de route de la LS, à une époque où Lexus doit faire aussi bien que la concurrence, soit la BMW Série 7, la Mercedes-Benz Classe S, la Audi A8, et toutes les autres grosses bagnoles de luxe.

Mais la tenue de route, aussi bonne soit-elle, ne peut garantir le succès de la voiture, si la mécanique ne suit pas.

Pour l’instant, Lexus n’a dévoilé qu’un groupe motopropulseur. Elle a créé un nouveau moteur V6 biturbo de 3,5 litres, bon pour 415 chevaux et un couple de 442 livres-pied. La puissance est acheminée aux roues arrière par une boîte automatique à 10 rapports de nouvelle génération, et Lexus prévoit un temps sur le 0-96 km/h de 4,5 secondes, ce qui positionne la « LS 500 » avantageusement au sein de sa catégorie.

On présume qu’une motorisation hybride se joindra au bal, comme c’était le cas sur l’ancien modèle, ainsi que la transmission intégrale.

L’habitacle a également reçu toute une mise à jour. Avec des formes entièrement nouvelles, on constate la direction que prendra Lexus au cours des prochaines années.

Quoi qu’il en soit, impossible de se prononcer sur la voiture avant un essai routier digne de ce nom, mais jusqu’à présent, ça augure bien pour Lexus avec sa LS 2018.

Partager sur Facebook

Plus sur le sujet

2016Lexus LS 2016: Le blues du businessman
« J’passe la moitié de ma vie en l’air, entre New York et Singapour, je voyage toujours en première ». Cet homme dont Luc Plamondon parle, ne conduit pas une Ferrari, ni une Rolls-Royce. Il conduit une Lexus LS. Pourquoi? Aucune idée, c’est comme ça. Je ne l’ai jamais imaginé …

À lire aussi

Et encore plus

En collaboration avec nos partenaires