Tesla Model S: Un vague parfum de Mercedes-Benz
Plus je conduis ma Tesla Model S, plus je lui trouve des similarités avec une Mercedes. Je me demande même si la participation de la firme allemande ne va pas au-delà de la fourniture d’accessoires comme le volant, le levier de vitesses, les interrupteurs pour les vitres électriques et quelques autres bricoles.
Et cette impression est d’autant plus forte que j’alterne entre le Model S et mon coupé Mercedes E 350 qui est toujours à vendre. En conduite normale, le comportement routier de la première est très semblable à celui de la seconde. Très peu de dépaysement à part les accélérations et l’absence de bruits mécaniques. Les yeux fermés, la différence est minime.
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Beaucoup de badauds s’inquiètent de l’avenir de Tesla, mais, personnellement ce qui m’a rassuré est de savoir que la petite entreprise californienne bénéficie d’une participation non négligeable de la part de Mercedes-Benz, mais aussi de Toyota, les deux sommités de l’industrie.
Un voyage express à Québec m’a privé de ma Tesla pour quelques jours, mais hier je m’en ennuyais et je suis allé lui délier les roues. Jusqu’ici, mon total de kilomètres d’autonomie après recharge a été de 381 km. Je réalise qu’il faut conduire sagement pour obtenir un kilomètre de distance pour un kilomètre d’autonomie.
Finalement, Tesla promet 265 milles d’autonomie avec la P85, soit environ 430 km. Quelqu’un a-t-il vu ce chiffre s’afficher au tableau de bord?
